C’est la nuit, vraiment en pleine nuit, quand la ville dort, que j’ai voulu immortaliser les lumières des éclairages publiques, dans un contexte, particulier, d’insomnie.
cette série va à l’encontre même de la photographie qui nécessite de la lumière. Aujourd’hui certains appareils sont équipés de capteurs et algorithmes capables d’améliorer voir d’être à l’aise avec le manque de lumière ambiante.
Cette série parle aussi des insomniaques, presque incapable de trouver le sommeil, quand il le faut et il peut parfois y avoir des avantages à ce soucis de santé touchant plus de 20 % de la population environ (de tête), avantages te que le calme, et un état second participants parfois à la créativité.
C’est aussi étonnant de voir comment les paysages sont imprimés à l’envers, au lieu de fuir la lumière directe et de face (contre-jour) et bien la nuit on recherche cet élément !
